Mataiva 2/3
Visite de l'île:
L'île aux oiseaux
Un îlot qui sert d'abri à plusieurs types d'oiseaux de mer, des centaines protégeant leurs oeufs et leurs petits, certaine espèces dont le nom m'est inconnu sont magnifiques, surtout les petits, qui sont finalement assez grand avec leur duvet blanc, qui nous a servit plus tard à faire des écharpes et des bonnets (activité proposée par la pension)...... . Non , je rigole évidemment, on aurait beaucoup trop chaud.
La piscine naturelle
Jules, un des guides nous a conduit dans une piscine pas comme les autres, il s'agit d'une fosse creusée (+de 15m de profondeur) par l'Etat pour sonder le phosphate, cette fosse s'est par la suite remplie de l'eau du lagon lui donnant une couleur incomparable. Une bonne baignade, quelques sauts du haut d'un arbre (40 m pas plus)... et l'enduisement d'une sorte d'argile blanc puant sur tout le corps qui nous a bien amusé.

Le rocher de la tortue
Le rocher de la tortue se trouve côté océan en bordure de la barrière de corail, ce rocher fait l'objet d'une ancienne legende: "si un nuage de forme identique au rocher se forme, ça veut dire que le temps va changer et les tortues remonter à la surface, il sera alors le moment d'aller les chasser". J'en ai très vite déduit qu'ils ne mangeaient pas de tortues tous les jours hahaha... il m'arrive de me faire rire...
L'épave
En 1906, les habitants de Mataiva découvrirent un bateau échoué sur le récif, lors du cyclone de 1983, il fut brisé en 2, une moitié se trouve au fond (il y aurait un trésor dixit Jules...) et l'autre à près de 100m voir plus de la plage, celle-ci a été recouverte par la végetation il n'en reste qu'un carcasse de fer (et des moustiques à gogo).
Le Pito
Le nombril est un gros bloc de corail emmergeant au millieu du lagon, on dit que "Qui n'a pas posé le pied sur le nombril de Mataiva, n'y est pas vraiment allé", paul a rajouté "pied nu...." une légende qui ravit les touristes dont nous faisons parti...

Les extras de la pension!
Nous n'avons pas seulement vu des choses magnifiques, mais aussi profité d'activités super sympas !
J'ai (Nico) eut l'occasion de partir avec Francois le patron de la pension, à la pêche au gros, génial!!!
Un départ 4h du matin dans leur embarcation, motorisé, pour une pêche à la traine, sans canne à pêche, juste le fil nilon traînant de gros leurres. Nous sortons des passes, naviguons le long de la barrière de corail, et je sens déja une traction au bout de ma ligne que je m'empresse de tirer pour remonter le poisson, aidé par François nous sortons un baracuda de presque 1m , nous attraperons quelques poissons avant de rentrer 4 h plus tard.
Dans la série pêche, nous sommes cette fois tous allé pêcher mais sur la barriere avec de petites cannes à pêche de fortune avec au bout de nos hameçons des bernard lhermittes (attrapés par Jules pendant la nuit) et des bigorneaux ramassés a nos pieds. Elo a eut son heure de gloire en pêchant un ou deux petits poissons, c'était simple mais très sympa.
L'île aux oiseaux
Un îlot qui sert d'abri à plusieurs types d'oiseaux de mer, des centaines protégeant leurs oeufs et leurs petits, certaine espèces dont le nom m'est inconnu sont magnifiques, surtout les petits, qui sont finalement assez grand avec leur duvet blanc, qui nous a servit plus tard à faire des écharpes et des bonnets (activité proposée par la pension)...... . Non , je rigole évidemment, on aurait beaucoup trop chaud.
La piscine naturelle
Jules, un des guides nous a conduit dans une piscine pas comme les autres, il s'agit d'une fosse creusée (+de 15m de profondeur) par l'Etat pour sonder le phosphate, cette fosse s'est par la suite remplie de l'eau du lagon lui donnant une couleur incomparable. Une bonne baignade, quelques sauts du haut d'un arbre (40 m pas plus)... et l'enduisement d'une sorte d'argile blanc puant sur tout le corps qui nous a bien amusé.

Le rocher de la tortue
Le rocher de la tortue se trouve côté océan en bordure de la barrière de corail, ce rocher fait l'objet d'une ancienne legende: "si un nuage de forme identique au rocher se forme, ça veut dire que le temps va changer et les tortues remonter à la surface, il sera alors le moment d'aller les chasser". J'en ai très vite déduit qu'ils ne mangeaient pas de tortues tous les jours hahaha... il m'arrive de me faire rire...
L'épave
En 1906, les habitants de Mataiva découvrirent un bateau échoué sur le récif, lors du cyclone de 1983, il fut brisé en 2, une moitié se trouve au fond (il y aurait un trésor dixit Jules...) et l'autre à près de 100m voir plus de la plage, celle-ci a été recouverte par la végetation il n'en reste qu'un carcasse de fer (et des moustiques à gogo).
Le Pito
Le nombril est un gros bloc de corail emmergeant au millieu du lagon, on dit que "Qui n'a pas posé le pied sur le nombril de Mataiva, n'y est pas vraiment allé", paul a rajouté "pied nu...." une légende qui ravit les touristes dont nous faisons parti...

Les extras de la pension!
Nous n'avons pas seulement vu des choses magnifiques, mais aussi profité d'activités super sympas !
J'ai (Nico) eut l'occasion de partir avec Francois le patron de la pension, à la pêche au gros, génial!!!
Un départ 4h du matin dans leur embarcation, motorisé, pour une pêche à la traine, sans canne à pêche, juste le fil nilon traînant de gros leurres. Nous sortons des passes, naviguons le long de la barrière de corail, et je sens déja une traction au bout de ma ligne que je m'empresse de tirer pour remonter le poisson, aidé par François nous sortons un baracuda de presque 1m , nous attraperons quelques poissons avant de rentrer 4 h plus tard.
Dans la série pêche, nous sommes cette fois tous allé pêcher mais sur la barriere avec de petites cannes à pêche de fortune avec au bout de nos hameçons des bernard lhermittes (attrapés par Jules pendant la nuit) et des bigorneaux ramassés a nos pieds. Elo a eut son heure de gloire en pêchant un ou deux petits poissons, c'était simple mais très sympa.
